vendredi 15 juillet 2011

Première soirée Libertine...


Tout d’abord, je me présente rapidement : je m’appelle Julie, j’ai 43 ans, je vis en couple et j'ai 3 merveilleux enfants...
Ch. (mon homme) ne se doute de rien, mais je ne lui suis pas fidèle.
En fait, j’ai commencé à le tromper au bout de trois ans de vie commune (cela fait neuf ans que nous sommes ensemble).
Le souci, c’est que j’ai pris goût à ces aventures sexuelles qui fait que j’ai déjà couché avec plusieurs hommes différents. D’abord des anciens copains, un ancien collègue de travail, ensuite le patron de Ch. et même des inconnus rencontrés sur le net !

Même si j’avoue avoir honte de rendre Ch. cocu, toutes ces histoires me permettent de relancer ma libido et de sauter sur lui beaucoup plus souvent qu’au début de notre histoire, et ce n’est pas Ch. qui s’en plaindra !

Un soir, début Juillet, je me suis décidée à aller faire un tour toute seule dans un club échangiste à trente kilomètres de chez moi, d’abord pour me rincer l’œil, car j’adore regarder les gens faire l’amour, et peut-être pour prendre mon pied sauvagement avec un inconnu.

Le jour J est enfin arrivé. Ch. ne rentre pas ce weekend, il est dans le Sud, en déplacement jusqu’à mardi, et mes enfants sont en vacances chez leur grands parents... J’ai consulté le site du club, les pantalons sont interdits pour les femmes et nous avons l’entrée gratuite jusqu’à minuit.

Je passe une heure dans ma salle de bains à me maquiller lourdement, faux cils et rouge à lèvres fuchsia qui feront ressortir mes yeux verts. Je suis châtain clair mais j’ai décidé de porter une perruque couleur noir corbeau histoire de passer incognito. Nous sommes au mois de Juillet, j’enfile donc des bas noirs qui tiennent sans portes-jarretelles et une mini-jupe qui couvre tout juste le haut de mes bas lorsque je suis debout. J’enfile quand même un minuscule string noir histoire de retenir un peu ma mouille quand je serai trop excitée.

Pour le haut, j’ai acheté spécialement un bustier de satin rouge qui s’agrafe sur le devant et qui rehausse admirablement bien mon 85 B. Je n’ai pas été très gâtée par mère Nature, mais comme j’ai la taille très fine, cela contraste assez bien. Pour finir, des faux ongles rouges et mes escarpins à talons aiguilles, et me voilà plus sexy que jamais, Ch. n’en croirait pas ses yeux ! Je pose devant le miroir en essayant de m’accroupir et de me pencher afin de voir comment ma jupe remonte et je constate que je suis vraiment à la limite de l’indécence.

J’enfile un manteau long au cas où je tomberais sur un voisin en sortant, et glisse un préservatif dans mon sac à main pour le cas où. Il est maintenant vingt-trois heures trente, le parking du club est presque totalement rempli et je trouve une place assez éloignée de l’entrée, tant pis. Je presse le pas en traversant le parking qui semble désert et arrive seule devant l’entrée. Soudain, un homme arrive en courant :

  • — Mademoiselle, s’il vous plaît, cela vous dérangerait de me laisser vous accompagner juste pour l’entrée ?

Je le regarde, très surprise. Il a l’air plutôt pas mal malgré l’obscurité, grand et large d’épaules. Je lui demande alors :

  • — Pourquoi ?
  • — Les hommes seuls doivent régler une entrée plus chère, 200 € la soirée, alors que c’est moitié tarif si l’on est accompagné d’une dame. Je vous promets de vous laisser tranquille pour le reste de la soirée, c’est juste deux minutes de votre temps que je vous demande, à moins bien sûr que vous attendiez quelqu’un d’autre ?

Je réfléchis un instant, et il me regarde alors avec des yeux qui me transpercent le cœur :

  • — C’est d’accord, d’ailleurs je vous avoue que c’est la première fois que je viens et que je suis un peu intimidée.
  • — Merci beaucoup, je me ferai un plaisir de vous faire visiter les lieux en tout bien tout honneur, si vous le désirez bien sûr.

Il pousse la porte et me laisse passer devant lui, ce qui me laisse le temps de sentir son parfum et de le regarder plus attentivement, il est vraiment pas mal du tout. Il règle son entrée à l’hôtesse et nous nous débarrassons de nos manteaux, j’apprécie le fait qu’il ne me déshabille pas du regard immédiatement, car je me sens soudainement incroyablement pudique dans ma mini-jupe. La première salle est constituée d’une piste de danse assez réduite et de plusieurs bars dispersés un peu partout.

Des couples dansent langoureusement en se touchant et se frottant les uns contre les autres, mais tous semblent encore habillés. Moi qui m’attendais déjà à les voir se sauter dessus comme des bêtes, je me suis fait des idées !

Mon guide me propose de boire un verre et de s’installer sur un canapé d’angle en velours. Je le suis et nous faisons ainsi plus ample connaissance. J’apprends qu’il est marié, je lui réponds que moi aussi, qu'il a 62 ans et qu'il s'appelle Michel.

Nous discutons environ pendant une heure, puis il me propose d’aller faire un tour dans les autres salons. Nous descendons d’un étage et je le laisse me prendre la main pour nous faufiler parmi la foule. Je vois deux femmes qui s’embrassent avec passion alors que deux hommes les regardent. Un peu plus loin, un autre homme est allongé dans un fauteuil et se fait sucer par deux femmes en même temps.

Il y a aussi plusieurs petites pièces avec des lits, les unes ont des rideaux transparents tirés et les autres sont fermées par des portes coulissantes. Michel m’explique qu’il est interdit d’ouvrir une porte fermée sauf si l’on y est invité, et que si l’on refuse une invitation ou bien une approche, l’autre n’a pas le droit d’insister.

Je commence à me sentir en confiance, et je pense que l’alcool m’aide à me sentir à l’aise. Je sens la main de Michel remonter et descendre dans mon dos dans une légère caresse. Nous nous installons dans un fauteuil et je me laisse aller contre lui. Face à nous, une femme est assise les seins nus dont chaque téton est sucé par un homme. Elle gémit très fort et écarte sans aucune pudeur les cuisses. Une femme vient s’agenouiller devant elle et lui retire son string.
Je suis comme envoûtée. La main de Michel remonte sur ma cuisse, il m’embrasse dans le cou, je lui facilite le passage en écartant les jambes, et il atteint enfin mon clitoris tendu à travers le string.

Je ne peux m’empêcher de regarder la femme qui jouit à répétition, un homme a remplacé la femme entre ses cuisses et la besogne violemment. Je sens l’orgasme monter en moi, et je me jette littéralement sur la braguette de mon partenaire. Je m’agenouille devant lui et avale son sexe d’un trait, je vois la surprise sur son visage, il ne s’attendait pas à me voir ainsi déchaînée ! Son sexe est énorme, aucun poil, je le pompe tellement fort qu’il m’accompagne en bougeant le bassin. Ses mains se crispent dans mes cheveux et j’en perds presque ma perruque.

Soudain, une main se glisse sous ma jupe derrière moi et je n’ose pas me retourner. Michel a fermé les yeux et ne remarque pas la présence d'un autre homme derrière moi.
Je continue, enhardie plus que jamais par ces gros doigts qui me fouillent le vagin, je lèche les couilles bien remplies, remonte le long de sa bite et enfourne le tout.
Michel est au bord du supplice, et au moment où il ouvre les yeux et voit l’homme derrière moi, il crache enfin tout son foutre sur mon visage...

Il me relève et je m’installe à califourchon sur lui, mon sexe est trempé de mouille et je retire mon string que l’inconnu a descendu sur mes chevilles.
Bien sûr, celui-ci a disparu. Dommage, car je suis dans un tel état qu’il aurait pu me prendre sur-le-champ. Michel m’embrasse et goûte son sperme dans ma bouche, je me frotte contre son sexe ramolli qui ne tarde pas à durcir à nouveau.
Nous décidons d’un commun accord de changer d’endroit, il se rhabille et nous traversons la salle.

Nous arrivons dans une nouvelle pièce où trône une piscine hors du sol avec des vitres, de sorte que l’on peut voir ce qui se passe sous l’eau. J’aperçois une femme assise nue au bord, les jambes dans l’eau alors qu’un homme lui lèche la chatte. Un couple fait l’amour dans l’eau, et l’on peut voir les seins énormes de la femme s’écraser contre la vitre sous les assauts de son partenaire.

Nous prenons place sur un matelas au bord de la piscine et Michel commence immédiatement à me sucer le clitoris. Je place mes pieds sur ses épaules et me laisse envahir par sa langue. Je gémis de plus en plus fort, à tel point qu’une femme vient m’embrasser et me pince les tétons à travers mon haut. La jouissance arrive enfin et je me sens emportée dans un tourbillon de plaisirs.
Michel se déshabille alors complètement et me pénètre d’un coup de reins, j’entoure sa taille de mes jambes puis nous roulons sur le côté, et je me retrouve sur lui.

Je fais durer le plaisir en ralentissant le rythme de mes hanches, et je vois la femme qui m’a embrassée revenir vers nous. Michel lui fait un clin d’œil et elle prend place face à moi en remontant sa jupe au-dessus de son visage. Elle me sourit et commence elle aussi à gémir rapidement, ses mains s’activent sur mon bustier qu’elle dégrafe de haut en bas. Nous nous embrassons profondément, je malaxe ses seins lourds, tire les tétons qui sont très gros par rapport aux miens.
Je n’ai jamais touché les seins d’une femme et cela m’excite terriblement. Je les presse l’un contre l’autre et lèche le sillon du milieu. Ma partenaire crie de plus belle et excite de sa main mon clitoris. Je mouille aussi terriblement, et chaque pénétration de Michel s’accompagne d’un joyeux clapotis.

Ma partenaire décide d’échanger nos places et Michel nous laisse prendre les choses en main, visiblement ravi de la tournure des évènements. Je prends ainsi le visage de mon amant entre mes cuisses dégoulinantes et l’autre femme commence d’abord par le sucer comme pour le laver de ma mouille.

Elle s’empale ensuite sur lui en me tournant le dos et en me présentant son anus.
Je caresse ses fesses et c’est alors qu’elle me demande ouvertement de lui mettre mon plus gros doigt dans le cul. Je suis tellement excitée que je m’exécute sans réfléchir, je lèche mon majeur et lui enfonce sans ménagement dans l’anus.
Nous voilà toutes les deux en train de jouir en criant, et je n’ai même pas remarqué que trois hommes nous entourent et se branlent en nous matant. L’un d’eux s’approche de moi et m’interroge du regard, j’humecte mes lèvres en signe d’approbation et il promène son gland violacé sur mon visage. Je lèche, suce, avale presque entièrement ce gros sexe qui bande pour moi, et de ma main encore libre je masse ses couilles pleines et les fais rouler dans ma paume.
Le type pousse des grognements de plaisir et accélère ses mouvements du bassin, il me dit :

  • — Je viens, je viens, vas-y ma salope, avale tout mon foutre !

Je sens un premier jet chaud gicler contre mes amygdales, suivi de suite d’un second que je peine à avaler et d’un troisième qui me coule sur le menton. J’adore le goût légèrement salé et l’odeur du sperme, je termine mon travail correctement en léchant la queue encore dure alors que ma collègue jouit comme une folle toujours empalée sur Michel et avec mon doigt dans l’anus.

Un des hommes qui nous entourent s’approche à son tour et vient m’embrasser en léchant encore le sperme sur mon menton. Il me relève et j’abandonne Michel qui a lui aussi éjaculé et qui reste allongé alors que l’autre fille le suce. Je suis l’homme qui m’emmène dans la piscine. Je suis à présent complètement nue et j’ai retiré ma perruque, mes cheveux sont attachés en queue de cheval. L’eau est chaude et je me laisse flotter à la surface sur le dos. Mon nouveau copain me suce les tétons qui ne cessent de pointer et qui sont devenus rouges à force d’être malmenés. Je m’accroche à lui et l’encercle de mes jambes, son sexe me pénètre instantanément. Il me soulève en rythme et je l’aide en m’appuyant sur ses épaules, je vois qu’il commence à fatiguer et je m’éloigne en l’entraînant par la main vers le bord.

Une femme est justement en train de se faire brouter la chatte par un homme et nous nous installons à côté d’eux. Je lui tourne le dos et me hisse sur les avant-bras, il me pénètre par l’arrière en me tenant les hanches. Mes seins frottent contre le carrelage rugueux, ce qui m’excite d’autant plus et me fait accélérer le mouvement. Je bute comme une enragée contre les couilles de mon partenaire sous l’eau, celui-ci me traite de grosse vicieuse et sort de mon vagin pour me prendre par mon petit trou. Je me laisse faire, trop occupée à me concentrer sur mon plaisir, car la femme d’à côté s’occupe à présent de mes nichons d’une main, en les malaxant.

L’orgasme tant attendu arrive enfin et je crie de plaisir alors que mon partenaire n’a toujours pas craché et continue de me limer l’anus. Il prend à son tour place sur le bord et je commence une fellation toujours debout dans l’eau. La femme à mes côtés rentre dans l’eau et m’arrache presque la queue de la bouche pour l’enfourner dans la sienne. Elle suce avec une ardeur et une frénésie digne des plus grandes actrices pornos. Je profite de ce moment de répit et me place derrière elle pour lui tripoter les seins. Sa poitrine qui doit faire au moins du quatre-vingt-quinze D déborde largement de mes petites mains. Je lui tire et pince fortement les tétons et elle gémit la bouche pleine de la bite de notre homme. Ses fesses frottent contre mon pubis et je glisse une main entre ses lèvres pour trouver son clitoris. Elle écarte immédiatement les cuisses et je glisse deux doigts dans son vagin et alors que je la fourre, je sens le jet chaud d’urine qu’elle lâche dans l’eau de la piscine. Je frotte ma main à plat sur son bouton gonflé en lui murmurant à l’oreille :

  • — Tu n’es qu’une cochonne, tu as pissé dans l’eau de la piscine comme une salope, tu mériterais que je t’encule pour te punir.

Je pince fortement son clitoris et la voilà en train de pisser à nouveau et cette fois-ci je crois qu’elle se vide totalement, en plus, cette chienne. Je donne des coups de boutoir contre son cul qu’elle ne cesse de frotter en attendant quelque chose que je ne peux lui offrir et soudain notre homme crache enfin sa semence sur le visage de cette furie. Elle se retourne face à moi et me roule une pelle afin de me faire goûter le sperme. Je l’embrasse et continue de lui enfoncer presque ma main entière dans le vagin. Ses mains griffent mon dos et elle m’enfonce sa langue dans la bouche, je lui enfonce un doigt dans l’anus en même temps. Enfin, elle jouit en gémissant dans ma bouche et en contractant tous les muscles de son corps.

Je suis épuisée. J’enfile un des peignoirs qui sont à disposition et retrouve Michel qui s’est rhabillé et m’attend avec mes vêtements au bar. Il me regarde avec malice et me demande si j’ai pris mon pied. Je lui réponds que oui et que je souhaite à présent rentrer chez moi.

J’enfile ma jupe et mon bustier et je remarque que mon string a disparu, tant pis pour moi. Il me raccompagne aux vestiaires et nous récupérons nos manteaux. Arrivés à ma voiture, il me remet un bout de papier avec son téléphone pour le cas où je souhaiterais le revoir.

Après un baiser très tendre, je quitte les lieux dans un semi-état de somnolence, bien décidée à aller me glisser dans mon lit au plus vite pour me remémorer les évènements de cette folle soirée.